C’EST ARRIVE PRES DE CHEZ VOUS de André Bonzel, Remy Belvaux et Benoit Poelvoorde

VEN-17 MARS

VEN-17 MARS – 20h00 – La Charité sur Loire
En présence du co-réalisateur André Bonzel

20h00 – C’EST ARRIVE PRES DE CHEZ VOUS 
De Remy Belvaux, André Bonzel, Benoit Poelvoorde – Belgique – Comédie – 1h32 min
Faux documentaire où une équipe de télévision se lance sur les pas d’un tueur sanguinaire qui assassine pour son compte… en banque ! Petits meurtres crapuleux, règlements de compte familial, corps immergés… tout y passe !
Un film déjanté, bête … et méchant ! Humour noir et situations extrèmes sont de mise. 30 ans après, toujours super culte !
Prix SCACD et Prix spécial de la jeunesse – Cannes 1992 / Prix du meilleur premier film européen 1993
Bande annonce : https://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19598596&cfilm=7383.html

-> Cette séance sera suivie du dernier film du réalisateur André Bonzel, en sa présence.
22h30 – ET J’AIME A LA FUREUR
De André Bonzel – Belgique – Documentaire – 1h37 min
Depuis son enfance, le co-réalisateur de C’EST ARRIVÉ PRÈS DE CHEZ VOUS collectionne des bobines de films. Grâce à ces instants de vie de cinéastes anonymes et ces traces d’émotions préservées, il reconstitue l’aventure de sa famille et déclare ainsi son amour pour le cinéma. Sur une musique de Benjamin Biolay, il raconte une histoire qui pourrait être la nôtre…
Bande annonce : https://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19596243&cfilm=271846.html

-« A travers ce kaléidoscope familier, ressort la conviction que la pellicule, organe sensible, enregistre sur les films amateurs plus que le réel : elle capte le désir, les gestes tendres, la joie et les rêves. Ces petites choses qui n’ont l’air de rien et sont pourtant l’essence de la vie. » Libération
– « En exhibant les films tournés dans l’intimité d’une chambre à coucher, en rendant à la vie l’empreinte éphémère des jours heureux, le cinéaste travaille l’air de rien la mémoire qui fout le camp, la cruauté d’un destin contrarié, et l’amour toujours l’amour. ». Positif
– « Autoportrait à travers les vies des autres d’un enfant du XXe siècle et des frères Lumière, cabinet de curiosités d’un voyeur généreux, « Et j’aime à la fureur », mis en musique avec malice par Benjamin Biolay, déborde d’amour pour le cinéma, ce mensonge qui dit vrai vingt-quatre fois par seconde. » L’Obs