2 FILMS : ENNIO MORRICONE A L’HONNEUR

DIM-26 MARS

DIM-26 DECEMBRE – SAINT HONORE LES BAINS
Petit focus italien via ce compositeur extraordinaire qu’était Ennio Morricone. Un western et un documentaire vous sont proposés, ainsi qu’un apéro «transalpin» entre ces deux séances.

16h00 > LE GRAND SILENCE de Sergio Corbucci
Avec Jean-Louis Trintignant, Klaus Kinski – 1969 – VO – Western – 1h46
Dans la province de l’Utah, aux Etats-Unis. Le froid extrême de cet hiver 1898 pousse hors-la-loi, bûcherons et paysans affamés à descendre des forêts et à piller les villages. Les chasseurs de prime abusent de cette situation. Le plus cruel se nomme Tigrero. Mais un homme muet, surnommé «Silence», s’oppose bientôt à eux… Attention, interdit aux moins de 12 ans
Bande-annonce : https://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19394354&cfilm=6319.html

Entre ces deux séances, on patiente avec un apéro italien et on discute des films avec William Robin et Jean-Marc Victor de l’association Sceni Qua Non.

19h00 > ENNIO
Documentaire musical de Guiseppe Tornatore – VO – 2h36 min
A l’âge de 8 ans, Ennio Morricone rêve de devenir médecin. Mais son père décide qu’il sera trompettiste, comme lui. Du conservatoire de musique à l’Oscar du meilleur compositeur, l’itinéraire d’un des plus grands musiciens du 20ème siècle.
Bande annonce : https://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19562036&cfilm=282286.html

  • « Un formidable documentaire sur un artiste jusqu’ici resté très discret dont la parole s’exprimait uniquement par la musique. » France Info – Culture-
  • « On en sort avec une envie folle de les revoir, quelques frustrations et, en tête, le portrait d’un homme sévère dont la rigueur et l’intransigeance, qui l’amenaient souvent à se fâcher avec les cinéastes, cachaient une émotion à fleur de peau. Vivement une version longue de cinq heures. » L’Obs
  • « Les premiers plans du documentaire établissent une proximité difficile à obtenir avec ce grand taiseux. En confiance, le musicien se montre dans l’intimité, ouvre les portes de son bureau et se dévoile comme il ne l’avait jamais fait. On est sidéré par ce parcours complètement atypique. » Le Figaro